"Le monde de Lucie" de Kris et Guillaume Martinez
"Le monde de Lucie" de Kris et Guillaume Martinez, Futuropolis, 1er volume : et pourquoi pas l'enfer ..., 2007.
Des enfants des rues, tiraillés entre leurs désirs frustrés de consommation et les groupes sectaires qui tentent de les rallier à leurs causes. Et puis un jour, une étrange rencontre, celle qu'ils font avec Lucie, une adolescente surgie d'un autre temps.
Alors que les fêtes de fin d'année approchent, un grand centre commercial bondé prend feu. Cet acte, vraisemblablement commis par des voyous, fait de nombreuses victimes. Margaret, une jeune rescapée de cet incendie, dans le coma, est hospitalisée au SPMR (society for parapsychical medical research) qui traite les cas de grands traumatismes psychologiques. Si elle se trouve dans cet établissement, c'est qu'elle a été retrouvée totalement indemne, sans aucune blessure. Personne n'est au courant de son existence en dehors de l'hôpital et des services de police. Une femme médecin, Emma, essaye d'entrer en contact avec elle par le biais de l'hypnose. Lors d'une séance, la jeune fille évoque un monstre noir et se met à parler en russe. Emma décide alors de faire appel à Sacha Iablokov, spécialiste de l'hypnose qu'elle a connu par le passé. Sans qu'Emma le sache, celui-ci est en contact avec Margaret depuis plusieurs jours.
En parallèle, un petit groupe de jeunes paumés, rencontre une jeune fille étrange du nom de Lucie. Celle-ci ne parle pas. La chef du petit groupe, Soledad, la prend sous son aile.
Les deux histoires se rejoignent lorsque Lucie entre en contact, par la pensée, avec Sacha et avec Margaret ...
Je dois dire que je suis totalement passée à côté de cette bande dessinée. Il est vrai que l'histoire de départ ne m'attirait pas plus que cela, mais le quatrième de couverture avait su attirer ma curiosité. Mais l'aventure n'est pas allée au-delà. J'ai eu tendance à me perdre dans cette histoire et à ne pas voir où les auteurs voulaient en venir. De plus, les dessins ne m'ont pas emportée ce qui ne m'a pas aidé à me plonger dans cette histoire. En conclusion, cette bd du mercredi est un rendez-vous manqué.